1 HISTOIRE
"Le tableau ci-dessous, ancien logo et image de marque de mon restaurant Hidalgo (galerie d’art), situé Place Sainte-Catherine, 24 à 1000 Bruxelles, incarne toute l’âme du lieu. Ce restaurant, fondé en 1984, n’est pas qu’une simple adresse gastronomique.
Le tableau révèle son charme : à l’avant-plan, un poisson féminin, gracieux et suggestif ; en arrière-plan, son pendant masculin, fort et mystérieux. Une référence subtile à la Place Sainte-Catherine, jadis bras de mer, où passé aquatique et présent coquin se rencontrent.
Cette femme-poisson, mi-humaine mi-animale, est un clin d’œil osé, un mélange d’humour, d’amour, et d’une touche de malice irrésistible qui fait écho à l’esprit libre et décalé du restaurant."
    2 HISTOIRE
"Le tableau ci-dessous, ancien logo et image de marque de mon restaurant Hidalgo (galerie d’art), situé Place Sainte-Catherine, 24 à 1000 Bruxelles, incarne toute l’âme du lieu. Ce restaurant, fondé en 1984, n’est pas qu’une simple adresse gastronomique.
Le tableau révèle son charme : à l’avant-plan, un poisson féminin, gracieux et suggestif ; en arrière-plan, son pendant masculin, fort et mystérieux. Une référence subtile à la Place Sainte-Catherine, jadis bras de mer, où passé aquatique et présent coquin se rencontrent.
Cette femme-poisson, mi-humaine mi-animale, est un clin d’œil osé, un mélange d’humour, d’amour, et d’une touche de malice irrésistible qui fait écho à l’esprit libre et décalé du restaurant."

3 HISTOIRE
Le tableau de l’artiste DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO). Une véritable ode à la ville de KNOKKE, où les interdits fleurissent comme des fleurs dans un jardin bien entretenu. Dans un mélange savoureux d’humour et d’ironie, PACO nous fait découvrir le monde merveilleux des restrictions imposées par la commune.
L’artiste a bien compris cette subtilité. Ses panneaux sont presque poétiques, des hymnes silencieux à la liberté étouffée. Le touriste, confus mais poli, se demande alors : "Que peut-on faire, après tout ?" Eh bien, rassurez-vous ! Les autorités de Knokke, dans toute leur bienveillance, nous rassurent: "Regardez toutes les choses que vous ne pouvez PAS faire!" Mais après tout, c'est pour notre bien. Rien de tel que des règles pour nous protéger des dangers omniprésents de la mer et des ballons qui rebondissent.
Mais malgré tout, et c’est là la magie de Knokke, on y revient. Oui, on y revient toujours. Parce qu’au-delà des interdictions, il y a ce petit quelque chose qui nous attache, ce charme indéfinissable. Alors, Paco, avec amour et humour, nous le rappelle : la liberté, même balisée, a encore ses beaux jours à Knokke.
    4 HISTOIRE
Le tableau de l’artiste DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO), a été conçu avec une ambition fulgurante : attirer le plus grand nombre de spectateurs pour réduire la consommation de tabac. C'est vrai, pourquoi ne pas utiliser l'art pour promouvoir une cause si évidente ? Après tout, il suffit de regarder un tableau pour changer des années de mauvaises habitudes, n’est-ce pas ?
Et pour ceux qui n’ont toujours pas compris, un petit conseil : ne fumez pas. Oui, vous avez bien entendu, le tabac nuit à la santé ! Qui l'aurait cru ? Mais rassurez-vous, PACO est là pour nous rappeler cette vérité universelle avec sa peinture. Une œuvre d’art qui pourrait peut-être même remplacer les avertissements sur les paquets de cigarettes. Bravo, PACO, votre talent pour l’ironie est presque aussi saisissant que le message qu’elle véhicule !
    5 HISTOIRE
Le tableau de l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO), "Chien Vert, Lunettes Noires", est une œuvre malicieuse qui nous invite à réfléchir sur le pouvoir des médias avec une dose d’humour caustique.
Le chien vert, affublé de lunettes noires, semble fixer une télévision verte dont l’écran jaune est percé d’un trou rond, comme si l’essentiel de l’image ou de la vérité était manquant ou délibérément masqué.
Le chien incarne une figure de contre-pouvoir, un observateur qui voit au-delà des apparences médiatiques, tandis qu’un panneau d’interdiction à gauche du téléviseur nous fait comprendre que tout n’est pas permis – surtout pas la critique.
Ce tableau, choisi comme décor pour l’émission "Tout le monde en parle" de Thierry Ardisson en 2005, reflète parfaitement l’esprit irrévérencieux de l'émission, en alliant critique subtile et provocation ludique.
Paco, à travers son œuvre, semble nous dire : « Ne croyez pas tout ce que vous voyez à la télé, même un chien vert en sait plus que ça ! »
    6 HISTOIRE
Le tableau de DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) sur Nerva reflète une vision politique profonde, influencée par son imagination et son expérience d’immigré. Il évoque la guerre civile espagnole à travers un homme armé, symbole du conflit et de la violence. Nerva y est représentée comme un lieu de tension entre les forces rebelles et phalangistes : les hommes verts incarnent le pouvoir autoritaire, tandis qu'un chien vert incarne le contre-pouvoir, une figure de résistance ou d’opposition.
Deux figures féminines, l'une soumise et l'autre libre, symbolisent les contrastes entre oppression et émancipation dans la société. Le pommier avec une pomme mordue évoque la tentation, peut-être une métaphore de la trahison ou de la perte d'innocence. Le vélo, quant à lui, représente un moyen d’évasion, une volonté de fuir cette réalité politique oppressante.
Ce tableau critique les divisions idéologiques et sociales, et reflète l’impact du pouvoir et de la rébellion sur les individus.
    7 HISTOIRE
L’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) nous livre, à travers son triptyque Peligro en Nerva, une œuvre personnelle, où se mêlent mémoire, exil et mystère. En 1963, alors qu'il quitte sa ville natale de Nerva avec sa famille pour émigrer à Bruxelles, une seule image s'imprime durablement dans son esprit : le panneau de signalisation marquant "Nerva", accompagné d’un symbole qu’il ne comprend pas.
Ces trois tableaux, donnés à sa ville de naissance, symbolisent bien plus qu'un simple souvenir. Ils sont à la fois un hommage et une énigme. Paco ne cherche pas à donner des réponses, mais plutôt à poser des questions, à faire naître une réflexion chez le spectateur. Que signifie ce symbole inconnu ? Est-ce une métaphore du déracinement, de l'incertitude de l'exil, ou du danger caché dans les souvenirs d'une vie passée ? Chaque spectateur est invité à trouver sa propre interprétation, car comme l’artiste semble le suggérer, le véritable danger à Nerva est peut-être dans la façon dont chacun regarde ou se souvient.
En fin de compte, ce triptyque est un jeu entre le passé et le présent, entre l’identité et l’ailleurs, une invitation à méditer sur la nature des lieux qui nous marquent et que l’on quitte, mais qui ne nous quittent jamais vraiment.
    8 HISTOIRE
Le tableau de l'artiste DIAZ ACOSTA FRANCISCO(PACO) semble jouer avec une esthétique surréaliste et symbolique pour aborder des thèmes de contrepouvoir, d'absurdité et de questionnement sur les normes sociales.
Vision et interprétation de l'œuvre :
1. Le chien vert à lunettes noires : Ce chien, en tant que figure centrale, semble être une métaphore du contrepouvoir ou de la marginalité. Sa couleur verte, qui n'est pas naturelle pour un chien, et ses lunettes noires renforcent son caractère étrange et excentrique. Il peut représenter une figure qui se distingue ou qui voit le monde différemment des autres. Les lunettes noires peuvent indiquer une certaine distance par rapport à la réalité, une manière de filtrer ou d'interpréter le monde autrement, peut-être même une forme de cécité volontaire face à certaines conventions sociales.
2. Le mur vert et le trou : Le mur vert devant lequel se tient le chien peut symboliser une barrière ou un obstacle, une séparation entre deux réalités ou deux mondes. Le trou dans ce mur devient une ouverture vers l'inconnu ou une invitation à regarder au-delà des apparences. Ce trou pourrait représenter la curiosité, le besoin de voir au-delà des limites imposées, mais il laisse également la question ouverte : que se trouve-t-il derrière ce mur ? Ce vide pourrait être une manière de représenter l’incertitude ou le mystère qui se cache derrière les structures établies.
3. Le panneau bleu et la pipe : Ce panneau routier indique que "fumer la pipe est autorisé", un acte qui serait normalement répréhensible par le code de la route. Ce détail introduit un élément absurde dans l'œuvre, remettant en question les lois, les normes et les interdits. Le fait que cet acte soit signalé comme autorisé dans un contexte inattendu soulève des interrogations sur la logique des règles que la société impose. Cela semble être un clin d'œil à l'absurdité de certaines lois et à la manière dont elles sont interprétées ou imposées.
4. Le chien comprend-il ? : La question de savoir si le chien comprend le panneau met en avant la distance entre le symbole et sa signification. Le chien à lunettes noires, qui représente peut-être le contrepouvoir, semble être une figure qui, par sa posture ou son apparence, ne se conforme pas aux normes. Mais peut-il réellement comprendre la logique derrière ce panneau absurde ? Probablement pas. Cela pourrait symboliser l'incompréhension ou l'indifférence face aux règles qui semblent parfois déconnectées de la réalité ou de la logique.
Conclusion :
L'œuvre de Paco semble être une réflexion sur les normes, les règles et les structures de la société, tout en insistant sur l'absurde qui peut en découler. Le chien vert à lunettes noires représente une figure d'opposition ou de marginalité, mais aussi d'incertitude. À travers lui, Paco questionne les pouvoirs établis et les logiques sous-jacentes, tout en laissant une grande part de mystère et de liberté d'interprétation.
En somme, ce tableau ne se contente pas de montrer une scène surréaliste, mais invite le spectateur à se poser des questions sur ce qui est visible, ce qui est caché, et ce qui fait sens dans un monde où les règles semblent parfois arbitraires ou absurdes.
    9 HISTOIRE
L’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO), fidèle à son style naïf, nous livre ici une scène bucolique qui semble tout droit sortie d’un livre pour enfants… ou d’un récit de péché originel, qui sait ? Un pommier aux pommes rouge vif trône fièrement, mais attention, certaines ont déjà subi les assauts des gourmands. Croquées avec enthousiasme, leurs trognons rouges témoignent de ce festin innocent (ou pas ?). Trois petites pommes rouges, encore intactes, pendent là, pleines d’espoir, ou d’illusion ?
Et Paco nous glisse, l'air de rien, ce vieux serment : « Croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer ». Mais qui y croit encore ? Pas nous, et encore moins ce pommier faussement sage.
     10 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
    11 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
     12 HISTOIRE
L’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) et son humour décapant ! Voilà qu’il nous sert une scène où son ami, Marc Marteyn, se retrouve en position de Saint Sébastien, criblé de flèches comme s’il avait décidé de passer une mauvaise journée. Pourquoi Saint Sébastien ? Même Paco n’en a pas la moindre idée, et c’est bien là toute la beauté de l’affaire. L’arbre vert, peint à la va-vite, trône fièrement derrière, avec autant de grâce qu’un gribouillage d’enfant.
Six flèches plantées dans ce pauvre Marc : trois en plein cœur, une en plein milieu pour faire bonne mesure, et deux autres pas loin de la tête d’un serpent. Mais pourquoi un serpent, pourquoi des flèches, pourquoi tout ça ? Paco s’amuse à nous perdre dans cette bizarrerie picturale, parce qu’après tout, l’art n’a pas besoin de logique, seulement de malice et d’amitié.
    13 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
    14 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
    15 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
    16 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
    17 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
    18 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
    19 HISTOIRE
Le palmier à bananes de l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) est un véritable pied de nez à la genèse. Exit les pommes, bienvenue aux bananes ! Et puis, pourquoi se compliquer avec Adam quand Ade et Eva sont déjà là, sous l'arbre, prêtes à goûter à cette étrange tentation botanique ?
Avec son style minimaliste, presque enfantin, Paco brouille les cartes : deux femmes, un serpent, des bananes partout... L’affaire est louche, mais hilarante. Serait-ce une simple erreur ? Une douce provocation ? À moins que ce ne soit une manière subtile de dire : la tentation, c’est une question de goût, et tout le monde est invité !
On ne sait pas trop si Paco se moque de la morale ou s’il nous invite à une relecture plus savoureuse du paradis perdu, mais une chose est sûre, on en redemande.
    20 HISTOIRE
Le pommier à cerises de l’artiste peintre Diaz Acosta Francisco (Paco), un mystère de la botanique et un clin d'œil divin ! Avec son style schématique, presque enfantin, il nous offre une relecture humoristique du grand récit fondateur : Adam, Ève, le serpent... mais cette fois-ci, pas de pommes défendues, juste des queues de cerises traînant paresseusement au sol. Peut-être une façon malicieuse de dire que la tentation, finalement, c'est surtout une affaire de goût ?
À droite, surprise : les enfants d’Adam et Ève, un garçon, une fille. Eux, les cerises, ils ne les ont pas encore croquées, mais on dirait qu’ils en connaissent déjà la saveur. Leur chemin ? Créatif, récréatif… et reproductif, bien sûr. Le tout avec un clin d’œil coquin de l’artiste, qui se demande : et maintenant, on fait quoi ? Ah, l’éternelle question !
    21 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
    22 HISTOIRE
L’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO), avec son style irrévérencieux, rend hommage à Sainte Agathe en la revisitant avec des couleurs primaires et des traits bruts. Sous des airs de simplicité graphique, il dénonce la barbarie faite aux femmes. Inspiré par l’histoire de cette martyre sicilienne, qui refusa les avances d’un consul et en paya le prix atroce, Paco nous balance une œuvre caustique et pleine d’amour pour celles qui, comme Agathe, ont subi l’injustice. C’est un clin d’œil ironique à la force des femmes, dissimulé derrière un décor faussement naïf.
    23 HISTOIRE
Le tableau de l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) nous plonge dans un paradis revisité où un "pommier à cerises" trône fièrement. Adam et Ève ? Non, Adan et Ive, deux hommes, se tiennent sous l'arbre, avec le serpent en spectateur perplexe. Un clin d'œil divin ou une farce botanique ? Les cerises jonchent le sol, comme pour nous dire que la tentation n’est plus une question de fruit défendu, mais de préférences gustatives... Avec un style faussement naïf, Paco s’amuse à brouiller les genres, l’histoire et les conventions. Révérencieux ? Pas vraiment. Drôle ? Oh que oui.
    24 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
    25 HISTOIRE
Le tableau de l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) nous offre une scène tendre et espiègle : sous un ciel bleu profond avec une lune discrète, un couple se blottit sur un banc vert. A leur gauche, deux oiseaux discutent sans fin, comme des commères ailées. Sur le banc, une pomme rouge, déjà mordue, semble rappeler l’interdit originel, mais sans drame, juste une touche malicieuse. Tout est là, tout est à sa place, comme si Paco voulait nous dire : l’amour, la tentation, la vie, c’est simple et léger, pas de quoi en faire tout un foin.
    26 HISTOIRE
Dans son tableau, l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) nous présente une scène aussi absurde qu'irrévérencieuse, qu'il avoue ne même pas comprendre lui-même.
En bas, un passage piéton jaune invite presque à traverser vers l'absurde.
À gauche, un soleil brille au-dessus d'un couple, tandis qu'à droite, un panneau interdit leur amour. Au centre, un personnage mystérieux, lunettes noires et ballons flottant à la taille, semble se moquer de cette absurdité morale ambiante. Une œuvre malicieuse, presque paillarde, qui défie toute logique, avec un clin d’œil complice.
Une morale bien-pensante m’empêche d’en dire plus, mais franchement, Paco s’amuse avec nous, malicieux, caustique, et plein d’amour pour l’absurdité de la vie.
    27 HISTOIRE
Le tableau de l’artiste DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) est une satire mordante de la relation homme-chien. L'ironie réside dans l'image du chien "tenu", "retenu", "détenu" par une laisse, symbolisant la domination subtile de l’homme. Est-il vraiment le "meilleur ami" du chien, ou plutôt un maître égoïste ? Sous couvert d’amour, l’homme domestique et humanise le chien pour son propre confort, le réduisant à un simple consommateur de croquettes.
L'humour se manifeste dans la banalité des rôles attribués : l’homme devient un "donneur de croquettes", négligeant l’instinct naturel du chien. La provocation finale, "Mieux vaut manger le chien que de lui ôter sa liberté", dénonce l'hypocrisie de cette fausse amitié, appelant à laisser les animaux vivre selon leur propre nature : "Foutez-leur la paix."
    28 HISTOIRE
Dans cette œuvre intrigante de l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO), le drame nautique prend vie avec une touche d'ironie. Au premier plan, un couple enlacé sur le sable jaune semble savourer l’amour, tandis qu’en arrière-plan, un autre couple se débat dans les eaux tumultueuses, noyé par les vagues de la passion perdue. Et là, au loin, un bateau glisse sur la mer, comme un témoin indifférent de ce théâtre des cœurs.
Paco, avec son humour caustique, nous invite à réfléchir sur les hauts et les bas des relations humaines. Sous ce ciel bleu outremer mystérieux, il nous rappelle que l’amour peut être à la fois un doux rêve et un drame tragique. Belle histoire, en effet ! Mais qui a dit que l’amour était simple ?
    29 HISTOIRE
Le tableau de l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) est une vraie ode à l'amour... ou un clin d'œil bien piquant à notre prétendue sophistication humaine. Sur un banc, un couple s’enlace tendrement, un moment suspendu de romantisme. Et juste en dessous, un autre couple, mais cette fois-ci, des canidés qui eux aussi s’enlacent. Ce qui devrait nous faire réfléchir, non ? Sommes-nous si différents ? Ou alors eux sont-ils comme nous ? L'artiste nous lance une question avec malice, sans s'embarrasser de donner la réponse.
Paco, dans son style toujours aussi direct et schématique, semble nous dire : arrêtez de vous prendre au sérieux, l’amour, c’est partout, que vous ayez deux jambes ou quatre pattes ! Est-ce une moquerie ? Une vérité mordante déguisée en humour tendre ? À chacun de se faire une idée. Mais, au final, que dire ? Peut-être rien. Juste sourire, et pourquoi pas, se faire un petit câlin.
    30 HISTOIRE
Le tableau de l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) célèbre l’allaitement comme source universelle de vie et de paix. La mère, sereine grâce à l’ocytocine, partage un moment de calme avec son enfant, tandis que le père, dépourvu de ce réconfort hormonal, se sent exclu et isolé. Paco illustre avec ironie la simplicité de la vie à travers l’allaitement, tout en pointant les émotions complexes des pères souvent laissés en marge. Retour à l’essentiel… et bon appétit !

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    33 HISTOIRE

    35 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
Dans son tableau, l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) nous offre une scène à la fois absurde et pleine de symboles. En avant-plan, une théière orientale trône fièrement, entourée de trois verres à thé sur une table au graphisme andalou, un clin d’œil aux mélanges culturels. Ces éléments évoquent la convivialité, le partage, mais le reste de la scène nous plonge dans un univers plus déroutant.
Au centre, le chien vert à lunettes noires, signature décalée de l’artiste, semble être le spectateur désabusé de cette scène improbable. À gauche, une femme à une seule tresse, à droite, une femme à deux tresses. Pourquoi ce détail capillaire ? Paco joue peut-être avec l’idée de l’individualité et des rôles figés que l’on attribue aux femmes, ou simplement il se moque des interprétations trop sérieuses.
Enfin, à l’extrémité gauche, un soleil brillant éclaire la scène de façon théâtrale. Ce soleil, métaphore de la clarté ou de la vérité, semble ironique dans un tableau aussi énigmatique. Paco se joue des symboles, brouille les pistes entre l’absurde et le quotidien, et nous rappelle que, parfois, la réalité est aussi étrange qu’une théière et un chien vert.
    37 HISTOIRE
L'artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) utilise un style naïf pour illustrer des scènes de la vie urbaine, où la dureté du quotidien s'entremêle avec des symboles engagés et percutants. Chaque tableau reflète un paysage urbain chargé de signification. Les personnages récurrents : l'homme vert, figure du pouvoir, et le chien vert, représentant le contrepouvoir, accompagnent souvent des femmes — soumises, libres, ou rebelles — qui révèlent des tensions sociales.
Les panneaux de signalisation routière — danger, interdiction, obligation — deviennent des métaphores de l'autorité et de la soumission. Dans cette ville, le passage piéton symbolise la frontière entre la sécurité et l'insécurité.
Le pommier, étrange et surréaliste, produit des pommes ou des cerises, ou parfois rien, brouillant les attentes et les symboles de la nature.
    38 HISTOIRE
Dans cette œuvre, DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) nous invite à un voyage astral où tout semble idyllique sous l'œil bienveillant de la pleine lune. Ah, les amants de la lune ! Figures romantiques, sans doute en proie à la douce folie des nuits étoilées, se perdent dans un monde où le parasol devient leur refuge, un bouclier contre les aléas de la réalité. Qui aurait cru qu’un simple parasol pourrait avoir une telle importance sous un ciel aussi poétique ?
La mer, calme et majestueuse, arbore une teinte outremer, comme si elle se parait de ses plus beaux atours pour séduire ces amoureux. Et que dire des quatre nuages ? Juste là, en toute tranquillité, comme des spectateurs indifférents à ce ballet sentimental, complices d’un moment où tout va bien, où rien de grave ne peut perturber cette harmonie apparente.
Avec une ironie délicate, Paco nous rappelle que derrière cette façade sereine, le monde continue de tourner. Ces amants de la lune, si enveloppés dans leur bulle de bonheur, sont-ils vraiment à l’abri des tempêtes de la vie ? Ou peut-être, au contraire, se moque-t-il de notre quête incessante de perfection dans un monde qui, lui, est en perpétuel mouvement.
Alors, levons nos verres à cette vision malicieuse et caustique : parce qu'au fond, peu importe la lune, le parasol ou les nuages, c’est l’amour qui danse, imperceptible et éternel, sous les feux de l’absurde.
    39 HISTOIRE
"Fume, c'est du Belge !
La cigarette, c’est mieux que la pipe.
Parce qu’on est là pour se faire plaisir… ou pas.
Aucun conseil, juste votre jugement."
Ce slogan joue avec l'ironie en soulignant le contraste entre un ton léger et des thèmes liés aux choix personnels, tout en rendant hommage à une certaine irrévérence typique de la publicité provocatrice. L’artiste se distancie de tout jugement, laissant le spectateur face à sa propre réflexion.
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L’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO), utilise sa toile pour explorer la relation entre l’objet simple, la pomme, et sa symbolique plus profonde. À travers la métamorphose de la pomme et de son trognon, il nous invite à réfléchir sur le cycle de la vie.
Du trognon à la pomme : Cette transformation illustre l’idée de renaissance et de potentiel. Le trognon, souvent négligé, devient le point de départ d’une nouvelle vie, rappelant que chaque fin est aussi un nouveau commencement. Cela pourrait aussi évoquer la résilience de la nature.
De la pomme au trognon : Ici, la perspective change. La beauté et la fraîcheur de la pomme peuvent symboliser les plaisirs éphémères de la vie, tandis que le trognon représente ce qui reste après la consommation, le passage du temps et la fragilité de l’existence.
En somme, que ce soit en considérant le trognon comme le début d’un cycle ou la fin d’un plaisir, Paco nous pousse à méditer sur notre propre rapport à la vie, à la mort et à la transformation. C’est un dialogue entre ce qui est visible et ce qui se cache, entre l’apparence et la réalité, nous laissant libre d’interpréter cette œuvre selon notre propre expérience.

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    43 HISTOIRE
Le tableau de l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) est un mélange vibrant de folklore et d'émotion personnelle, une sorte de clin d’œil ironique à ses racines. À travers des symboles puissants, il dépeint une histoire intime : la guitare flamenca, avec son manche particulier, incarne la musique qui pulse dans ses veines. Les danseurs de flamenco capturent la passion brute, presque animale, tandis que la tête du taureau, cerclée de rouge et criblée de banderilles, symbolise à la fois la force et la douleur du combat. Tout cela baigne dans un fond d'outremer, sa couleur fétiche, simple et puissante, comme un clin d’œil malicieux à la tradition qu'il aime, mais avec laquelle il flirte sans jamais trop s’y soumettre.
Le panneau "Nerva" ancre le tout à sa terre natale, comme un hommage malicieux à son passé.
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Le tableau "Le Jardin d'Éden" de l’artiste DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO), propose une réflexion sur la liberté et le pouvoir.
Dans cette œuvre, le chien qui ouvre la barrière symbolise une rupture avec l’innocence, marquant l’entrée dans un monde complexe. L'arbre avec la pomme croquée évoque la connaissance, mais aussi la perte d'innocence, tandis que la pomme mutilée suggère les conséquences de cette connaissance.
La bicyclette représente un moyen d’évasion, symbolisant la quête de liberté et d’autonomie. L'homme vert, représentant le pouvoir, est contrebalancé par le chien vert, qui symbolise un contre-pouvoir ou une résistance. Enfin, la femme rebelle, libre et révoltée, incarne la lutte contre l’oppression et la recherche d’émancipation.
En somme, Paco invite le spectateur à interroger les relations entre pouvoir, connaissance et liberté dans un monde en mutation.
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Le tableau de l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO), offre une interprétation colorée et abstraite de son pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle en 1999. Sur un fond bleu outremer, des pois, lignes, courbes et droites aux couleurs vives viennent composer une scène symbolique. À travers ces formes, on devine de manière schématique les attributs du pèlerin : son manteau, son chapeau, son sac, son bâton, et au bout, deux calebasses remplies d’eau, ainsi que la coquille Saint-Jacques, symbole du pèlerinage. Deux flèches jaunes indiquent la direction, un ultime guide pour ce voyage spirituel.
À vous de découvrir ce que, Paco, cache dans cette œuvre, à vous de voir et bon voyage !
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La carotte dans un milieu hostile.
L’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) nous décrit à travers son tableau : une scène animalière, dans un contexte végétal, en deux mots, la scène se compose de deux lapins et une carotte.
Paco, notre maître de la toile et de la carotte, nous offre ici une véritable tragicomédie végétale. Deux lapins, fondus dans un décor jaune-vert comme s'ils venaient tout juste de comprendre qu'ils ne sont pas les stars du tableau. Non, la véritable héroïne ici, c’est cette carotte. Orageuse, flamboyante, elle domine la scène avec une arrogance délicieuse. Elle sait qu’elle est le Graal des lapins, le trophée ultime. Mais eux, les pauvres, passent leur temps à se reproduire dans une frénésie débridée, sans même pouvoir savourer l'objet de leur désir. Quelle ironie !
La vraie question que Paco pose, c’est : qui est vraiment piégé ici ? La carotte, éternellement désirée, ou les lapins, esclaves de leur instinct ? Ou peut-être nous, simples spectateurs qui tentons de trouver du sens à tout ça, alors qu'au fond, ce n’est qu'une histoire de lapins et de légume…
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Dans cette œuvre de l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO), la mer en toile de fond offre un cadre idéal pour un cerf-volant rouge qui flirte avec les nuages, tel un amoureux en quête de liberté. À droite, un couple s’avance : elle, en vert, lui, en rouge, comme s'ils étaient les héros d’une comédie romantique désopilante. Mais attention, l’amour a ses règles, comme le rappelle ce panneau d’interdiction à gauche, interdisant aux chiens de s’enlacer.
Paco, avec un humour caustique, nous interpelle sur les absurdités de la vie amoureuse et des conventions sociales. Sous ce ciel enjoué, tout semble parfait, mais qui peut vraiment interdire l’amour, même à un chien ? Parce qu'au fond, il n’y a rien de plus malicieux qu’une promenade où les cœurs volent en éclats, même en toute légalité !
    48 HISTOIRE
L’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) nous fait sourire avec son tableau qui illustre deux des saisons favorites de Bruxelles : l’automne et l’hiver. Entre pluies abondantes et feuilles dorées, il nous rappelle que, oui, à Bruxelles, l’eau potable tombe du ciel – une bénédiction que les pays assoiffés du sud pourraient nous envier. Au centre, un couple radieux, sans parapluie, parce qu’ici, on célèbre la pluie plutôt que de la fuir. À gauche, un ciel menaçant, à droite, un soleil cuivré perçant le bleu profond. Ironique, malicieux et amoureux de son climat, Paco fait honneur à la ville.
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L’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO), toujours à la pointe de l’avant-garde, maniant pinceau et ironie comme un chef étoilé manie sa louche en argent. Ici, l’artiste nous gratifie d’une œuvre résolument pop, où le trivial devient sacré : un paquet de frites. Oui, mais pas n’importe lesquelles, mesdames et messieurs, des frites vertes (ou peut-être est-ce le paquet ? Paco ne nous facilitera pas la tâche) sur fond bleu outremer, hommage non dissimulé à la Belgique éternelle.
Les frites, dorées et brillantes, évoquent l’or de la gastronomie populaire, tandis que la mayonnaise, d’un blanc immaculé, coule comme une bénédiction divine. Et tout cela, bien sûr, pour la modique somme de vingt francs belges le paquet, et trois francs la mayonnaise. Là, Paco nous prend à contre-pied, nous rappelant que l’art véritable n’a pas de prix, mais les frites, si !
Ce tableau, sous son air simple et joyeux, est une réflexion profonde sur le consumérisme, la trivialité de nos désirs, et le capitalisme de la frite. Un clin d'œil malicieux au bon vieux temps où tout coûtait trois francs six sous. Derrière ce combo mayo-frites se cache un message : l’essence de la vie réside dans les plaisirs les plus simples, ceux qui ne coûtent presque rien... mais qui, aujourd'hui, semblent hors de portée.
En bref, une peinture aussi caustique que croustillante, à déguster sans modération. Bon appétit !
    50 HISTOIRE
Le tableau de l’artiste peintre DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO) capture une histoire profondément personnelle et symbolique, un hommage sincère à une rencontre déterminante dans sa vie artistique. La scène se déroule à Bruxelles, dans le magasin d’instruments de musique Hill’s Music, situé au 37 rue du Marché au Charbon. Ce lieu de rencontre est central dans l’œuvre, car c’est là que PACO rencontre Yves, le propriétaire du magasin, également connu sous le nom d’artiste RICARDO VELEZ, un guitariste inspiré par l’influent NINO RICARDO.
Le tableau est une ode à cette rencontre qui, en 1975, marque un tournant dans la vie de PACO. En voyant l'affiche annonçant des cours de guitare flamenca, PACO, alors plein de doutes et d’arrogance, entre dans la boutique. D’origine andalouse, il questionne avec méfiance la capacité d’un Belge à lui enseigner le « vrai » flamenco. Cependant, un simple regard de Yves lui confirme son authenticité et fait naître une reconnaissance immédiate, puis une amitié qui perdurera.
À travers cette œuvre, PACO exprime sa gratitude envers Yves pour lui avoir transmis l'essence du flamenco, un savoir précieux qui transcende les origines et les frontières. La peinture, par ses couleurs et ses formes, capture l’intensité de cette relation unique. Elle évoque à la fois le magasin de musique, qui est le théâtre de cette rencontre, et l'âme profonde du flamenco, un art qui les a liés au-delà des apparences.
Le tableau, en rendant hommage à Yves, est aussi un témoignage de l'influence du flamenco dans la vie de l'artiste, une tradition transmise d’une manière qui dépasse les conventions, grâce à la passion commune pour la musique.
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La mécanique poétique de la coccinelle : Une satire saisonnière.
Sous un titre faussement scientifique – La reproduction de la coccinelle – l’artiste DIAZ ACOSTA FRANCISCO (PACO), nous plonge dans une vision tout à fait fantasque et ironique de la vie amoureuse de ce petit insecte.
À travers quatre tableaux, PACO nous raconte le cycle de vie de la coccinelle, de manière presque théâtrale, saison après saison, comme si nous assistions à un opéra miniature où chaque scène est chorégraphiée par la nature elle-même... ou plutôt par l’imagination farfelue de l'artiste.
Le printemps arrive, et avec lui, la coccinelle adulte fait son entrée en scène, fière et prête à conquérir. La deuxième figure la montre déjà en quête d’un partenaire – car pourquoi attendre après tout, le printemps ne dure pas éternellement !
L’été, la chaleur aidant, voit enfin l’accouplement tant attendu. Mais la deuxième figure montre une coccinelle… en attente. Elle attend quoi exactement ? Mystère. Peut-être un second tour, ou bien simplement la fin des vacances.
L’automne, saison des récoltes, amène la fécondation. La première figure expose la coccinelle victorieuse, tandis que la deuxième, elle, semble encore patienter, entre deux vents de feuilles mortes.
Enfin, l’hiver clôt le cycle avec une coccinelle devenue fruit de l’amour, qui, dans un geste de bravoure, retourne à son point de départ, comme un acteur qui salue le public avant de recommencer.
Les pots de fleurs ornés de tournesols ? Pure coquetterie, PACO l’a décidé ainsi. Juste de quoi rappeler que dans cette valse reproductive, tout n’est qu’illusion décorative, et que la coccinelle, elle, continue son petit ballet sans s’en soucier.